L’indécence a-t-elle des limites ?
- Pati Bühler
- 27 août
- 1 min de lecture

Un trafiquant tunisien est actuellement jugé pour avoir terrorisé la Cité Aldrin à Sierre pendant des années. Réseau structuré, centaines de kilos de haschich écoulés, habitants menacés, quartier pourri par la violence et la peur.
Et devinez qui le défend ?
➡️ Jean-Luc Addor, élu UDC, ce parti qui passe sa vie à réclamer l’expulsion des criminels étrangers et le durcissement du droit pénal.
Mais ici, il n’est pas commis d’office : il a choisi de défendre ce caïd.
Le même qui reconnaît avoir écoulé plus de 250 kg de haschich, tout en contestant timidement la violence liée à son réseau. On ne parle pas de rumeurs. On parle de faits, de chiffres, d’enquête et d’un procès bétonné.
Alors à ceux qui vont me sortir la sempiternelle “présomption d’innocence”, soyons sérieux :
Quand un accusé admet la moitié des faits et que les preuves sont écrasantes, il ne s'agit plus de défendre un innocent, mais de sauver un coupable de la sanction qu’il mérite.
Et c’est là que le scandale prend tout son sens :
➡️ Comment peut-on, d’un côté, faire campagne sur la tolérance zéro pour les délinquants étrangers… et de l’autre, plaider contre leur expulsion pour gagner un procès ?
C’est une hypocrisie monumentale, une insulte aux habitants de ce quartier, une trahison des principes qu’on brandit en place publique.
🗣️ Ce genre de duplicité ne mérite plus le silence.
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